Cole, Theo et les grosses colères

Ces photos ont été prises à la fin de la journée de crèche: il ne restait plus que ces trois zozos-là dans la salle de classe. Tout le monde rigolait bien, et l’ambiance était à qui ferait le plus de bêtises.

Et d’un seul coup, ce fut le drame. Je demande à Gabrielle de se lever pour rentrer à la maison, et voilà qu’elle se met à fulminer, taper du pied et lancer des “non! Non!” bien sonores.
Elle ne voulait pas quitter ses copains. Comme les parents des garçons n’étaient toujours pas la après 10 minutes, et étant à cours d’arguments verbaux, j’ai dû recourir à une méthode plus physique qui consiste à prendre le manifestant sous son bras jusqu’à la voiture et le ceinturer jusqu’à ce qu’il ne puisse plus bouger.

Ouf, ca n’arrive pas souvent, mais quand ça arrive on s’en souvient!
La colère repart aussi vite qu’elle est arrivée d’ailleurs, et tout est bien vite oublié!

2 thoughts on “Cole, Theo et les grosses colères

  1. Je suis sûre que tu as retrouvé tes copains le lendemain ma chérie : ça ne vaut pas le coup de faire la colère !!!

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